Veronica Cremasco veut faire de la position bruxelloise une opportunité pour débattre de l’accès à la terre pour les agriculteurs.rices

Publié le 12 janvier 2021
Rédigé par 
Florence Lizin

Les déclarations d’Alain Maron, en novembre dernier, ont suscité de vives réactions – parfois caricaturales – qui, selon notre députée wallonne, présidente de Commission de économie, de l’aménagement du territoire et de l’agriculture, montrent au moins une chose : « On a touché au nerf de la guerre, l’accès aux terres agricoles en Wallonie ! ».

Rappelons-le, le manque de terres nourricières wallonnes et leur répartition est une problématique qui mérite un vrai débat de fond.
L’accès à ces terres, la souveraineté alimentaire de nos villes et communes, le bien-être de nos petit.e.s (et grand.e.s) agriculteurs.rices et la qualité de l’alimentation qu’ils produisent… sont au coeur des préoccupations du parti Ecolo.
Au Parlement wallon, en Commission, Veronica Cremasco a su rassembler l’ensemble des groupes de la majorité autour d’un projet concret : celui de saisir des auditions lors de journées d’étude, au sujet du foncier agricole.
Les questions cruciales pour l’avenir de notre agriculture y seront abordées : quelles sont les terres disponibles pour l’agriculture ? Quels sont les paramètres qui influencent leur quantité et leur prix ? Quels sont les différents modes d’accès à la terre ? Comment faciliter cette accès aux jeunes agriculteurs.ices ?
Une réflexion importante qui veut dépasser les clivages et aborder le plus sereinement possible le futur de l’agriculture wallonne.

La mise à disposition de terres appartenant à des personnes morales (communes, CPAS, fabriques d’église…), est centrale dans ce débat : notre députée invite donc nos conseillers.ères et président de CPAS à se manifester (veronica.cremasco@ecolo.be) en cas de pistes pour la mise à disposition de terrains.

Pour aller plus loin :